Le licenciement d’un animateur de télévision ayant tenu des propos sexistes sur le ton de l’humour est validé. Le salarié faisait valoir sa liberté d’expression, l’abus ayant été caractérisé par : la signature d’une charte par le salarié et la tenue des propos à une heure de grande écoute.

 

 

Cass. Soc. 20 avril 2022, n°20-10.852 FS-B